L’expérience, c’est le nom que l’on donne à ses erreurs 【 nom 】Donovan 【 prénom(s) 】Lorenzo William 【 date de naissance/âge 】24/06/1976 // 36 ans 【 lieu de naissance/nationalité 】Los Angeles // Américaine d’origine italienne 【 poste 】Titulaire 【 service 】Traumatologie 【 situation familiale & amoureuse 】Divorcé et père d’une fille de 5 ans qu’il ne connait pas Il est… Taciturne Patient Violent dans ses grosses colères Professionnel Déterminé

Son histoire

L’histoire de Lorenzo commence déjà par celle de ses parents. En effet, sa mère, Caterina Pellegrino, est née à Turin, en Italie et y a védut jusqu’à ses 20 ans où elle décida de partir faire ses études d’histoire de l’art aux Etats-Unis. Elle y rencontre alors Matthew Donovan, un jeune charpentier qui travaille avec son père et c’est le coup de foudre. Elle qui devait rester seulement quelques années aux Etats-Unis, voilà maintenant 40 ans qu’elle y vit. Et de cette union naîtront 4 enfants, dans l’ordre, Letizia, Lorenzo puis les deux jumelles, Elena et Marianna. Bref, autant vous dire que dans la famille Donovan, ce sont les femmes qui commandent et on ne s’ennuie jamais.
Lorenzo a grandi dans une maison plutôt confortable dans la banlieue de Los Angeles, dans un milieu plutôt modeste bien que le travail pour ses parents n’aient jamais manqué. Son goût de la chirurgie lui vient de son oncle, Keith, le frère aîné de son père, lui-même neurologue dans une clinique privé de Los Angeles. Son enfance et son adolescence se sont passés sans réel problème. Plutôt doué à l’école, il réussit sans trop de problème ses études de médecine et avec l’aide de son oncle pour les révisions, il devient interne à 24 ans, étant un des plus jeunes de sa promo, à Los Angeles. Une fois interne, il décide cependant rapidement de se débrouiller seul, sans l’aide de son oncle.
Un an après son début d’internat, il rencontre une patiente d’à peu près son âge pendant une garde à la mine avec un lego coincé dans le nez. Pas très utile pour garder de la crédibilité quand on essaye de draguer l’interne qui s’occupe de vous n’est-ce pas ? Pourtant, poussé par ses amis et collègues, Lorenzo finira par inviter la jeune femme à boire un verre. Une invitation qui marquera d’une série d’autres qui aboutiront à une relation entre eux. Au bout d’un an et demi de relation, l’italien finit par la demander en mariage et Dana, la jeune femme en question, prit le nom de famille du jeune chirurgien trois mois plus tard. Bref, une belle histoire d’amour. Enfin, ça, c’est ce que tout le monde pensait en dehors des deux intéressés. En effet, Dana se lassait de plus en plus des absences de Lorenzo à cause de son emploi du temps assez chargé en tant que jeune résident et les disputes ne cessaient d’éclater entre eux. Si bien qu’un jour, Dana lui annonça qu’elle était enceinte de lui mais qu’elle le quittait, ne voulant pas infliger à son enfant l’absence de son père. Alors âgé de 30 ans, Lorenzo se vit interdire de s’approcher de sa fille par son ex-femme après avoir conclu un marché. En échange du choix du prénom de l’enfant et d’une photo tous les six mois ainsi que des nouvelles à la même fréquence, il devait disparaître de la vie de sa fille, Emily.
Souffrant de cette séparation brutale et du fait de ne pas pouvoir connaître son enfant, Lorenzo se plongea un peu plus dans le travail pour oublier sa fille qu’il ne connaitrait sans doute jamais et commença à se spécialiser en cardiologie. Son titulaire ? Oh, vous la connaissez bien, il s’agissait de Teddy Altman. Et oui, la blonde, toute jeune titulaire, se prit d’affection pour l’italien qui ne semblait plus être que l’ombre de lui-même dès qu’on lui demandait de retirer sa blouse blanche. Pourtant, il remarqua peu à peu qu’en présence de la titulaire, il oubliait très bien Dana et sa fille et quelques mois plus tard, ils commencèrent à avoir une relation plus que professionnelle si vous voyez ce que je veux dire. Bien sûr, cette relation était interdite mais dura tout de même huit mois. Elle prit fin tout aussi brutalement que le mariage de Lorenzo, quand Teddy lui annonça qu’elle s’engageait dans l’armée.
Après le départ de la blonde, Lorenzo resta tout de même à Los Angeles mais passa de la cardiologie à la traumatologie en quelques semaines et devint titulaire sans trop de soucis dans cette branche. Mais ne supportant plus les remarques de ses collègues sur sa relation avec Teddy qui avait fini par se savoir, il décida de partir pour San Francisco pour son premier poste de titulaire, désirant tout de même rester près de sa famille.
Maintenant titulaire depuis 3 ans, Lorenzo rencontre des problèmes avec un de ses collègues et ne pouvant plus se supporter, ils finirent par en venir aux mains en plein milieu d’un couloir de l’hôpital. Et oui, faut bien l’avouer, parfois les mecs ne sont vraiment pas malins. Ayant frappé le premier, Lorenzo fut prié de faire ses cartons et de postuler dans d’autres hôpitaux contre la promesse du chef de chirurgie de San Francisco de ne pas dire qu’il avait été viré après une bagarre avec un de ses collègues. Le Seattle Grace Mercy Hospital fut l’un des premiers à répondre mais surtout une des propositions les plus intéressantes pour Lorenzo qui finit par accepter alors que l’hôpital se remet doucement d’une fusillade arrivée deux mois auparavant.
Côté cœur, toujours hanté par les départs brusques de Dana puis de Teddy quelques temps plus tard, Lorenzo n’arrive plus à se stabiliser plus de deux semaines avec une femme et ne cherche d’ailleurs même plus à trouver quelqu’un. A quoi bon de toute façon ? Elle finira par partir du jour au lendemain elle aussi en le détruisant encore un peu plus. Quelle sera sa réaction quand il se rendra compte que Teddy travaille aussi dans cet hôpital ? Pire encore, qu’elle file le parfait amour avec son psychologue ?

Son physique et caractère

Mesurant un mètre 97 pour 80 kilo, Lorenzo en étonne plus d’un lorsqu’il avoue être chirurgien. C’est vrai qu’avec la carrure de grand sportif qu’il a, beaucoup pense au premier abord qu’il fait un métier physique, manuel, ou même qu’il est dans l’armée. Ironie du sort quand on sait pour quoi Teddy l’a quitté… Enfin bref, revenons à notre italien. Pourtant, une fois qu’il est en tenue de chirurgien ou avec une simple blouse blanche par-dessus ses vêtements, on ne doute plus de son métier. Son physique plutôt séduisant, il le doit à son père, à qui il ressemble énormément même s’il est plus grand que celui-ci et qu’il a hérité des yeux noisette de sa mère, de qui il a également hérité de sa manie à parler avec les mains parfois.
Bilingue depuis son enfance, Lorenzo parle cependant assez rarement en italien. A vrai dire, seulement lorsqu’il est en colère, qu’il se fait mal ou qu’il parle avec sa mère et ses sœurs lors des réunions de famille. Ou alors de temps à autre quand quelqu’un à qui il tient le lui demande. De toute façon, Lorenzo n’a jamais été un grand bavard. En même temps, avec trois sœurs et une mère italienne, il faut dire qu’on apprend rapidement à ne parler que pour dire quelque chose d’utile. Roooh, c’est de la méchanceté gratuite ça, c’est vrai. Mais pour en revenir au temps de paroles de Lorenzo, c’est vrai qu’il n’a jamais été vraiment trouvé pour s’exprimer avec des mots, la preuve, si vous lui demander de vous consoler, il vous prendra beaucoup plus facilement dans les bras que de vous faire tout une thèse sur le pourquoi du comment vous devez vous calmer. D’ailleurs, Lorenzo a beaucoup de mal à parler avec une femme autre que sa mère ou ses sœurs, ne se sentant jamais sûr de lui. Il se met alors à bafouiller comme un adolescent de 14 ans ou à chercher ses mots et bien sûr, plus la femme lui plaît, moins il arrive à parler normalement.
Pourtant, à côté de ça, sa mère le compare souvent au Vésuve, un volcan italien : Lorenzo encaisse les choses, les encaisse et les encaisse encore jusqu’au moment où il arrive à saturation et explose. Et à ce moment-là, tous aux abris car les colères de l’italien sont parfois violentes au point que lui-même se met à l’être. Bien sûr, il se défoulera en priorité sur un objet ou un mur plutôt que sur quelqu’un mais si vous le cherchez trop… Et bien cela fera comme avec son collègue à San Francisco.
Une autre chose particulière chez Lorenzo, c’est son assurance et sa confiance en soi. En effet, dans la vie de tous les jours, il ne cesse de se remettre en question, de se rabaisser et de manquer d’assurance. Pourtant, une fois à l’hôpital avec une blouse sur le dos, il sait parfaitement quoi faire, comment réagir et quoi dire aux patients. Il fait alors preuve d’un sang-froid assez impressionnant qui n’a jamais cessé d’épater la plupart des titulaires qu’il a rencontré durant son internat. Mais retirez lui sa blouse et vous serez face à un tout autre homme.

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