【 nom 】Karev 【 prénom(s) 】Alexander 【 date de naissance/âge 】16/09/1980 // 32 ans 【 lieu de naissance/nationalité 】Iowa City // Américaine 【 poste 】Résident 【 service 】Pédiatrie 【 situation familiale & amoureuse 】Marié à Izzie Stevens, mais séparés…
Son histoire
-Depuis le début, mais vous êtes malade où quoi?! J’ai reçu une balle, j’ai pas besoin d’une thérapie!
-Dr. Karev, la question est simple. Racontez-moi votre histoire, du mieux que vous le pouvez.
-Et vous allez noter tout ce que je dis?
-Ne vous soucier pas de cela, je suis ici pour vous apporter un soucient après les récents évènements. Que vous croyez ne pas avoir besoin de mon aide, c’est votre opinion, mais laissez-moi le temps de me forger la mienne et pour cela…
-Je dois répondre à votre question stupide…
-Exactement.
« Je vous avertis, c’est pas mon truc de raconter. Je ne suis pas douer pour ça et je crois même n’avoir aucun talent pour la syntaxe! Ça vous apprendra à vouloir tout savoir! Comme j’ai pas trop le choix, commençons par le commencement : Je suis né le 16 septembre 1980 à Iowa City dans l’État du même nom. C’est un endroit agricole, c’est bien connu et dans un sens ça rime aussi avec pauvreté. Non pas que ma famille était pauvre, mais disons que si j’étais né ailleurs, ça aurait peut-être été plus « facile ». Je ne m’éterniserais pas longtemps sur le sujet, mais j’ai toujours eu l’impression que si j’avais eu la chance d’être loin de cette famille, ma vie aurait été tellement mieux. C’est pas dans mes habitudes de me plaindre, mais je leur doit une chose, c’est à cause d’eux si je suis médecin et si je suis fière de l’être. Disons simplement que j’ai pas eu la meilleure des enfances. J’ai pratiquement été élevé dans un bar. Il appartenait à mon père et c’était une chose que m’énervait au plus haut point chez lui. Il n’avait rien de professionnel! Il passait son temps à boire, se shooter sa drogue et rire avec les clients. Ça m’a toujours étonné qu’il réussissait à faire des profits à la fin de la journée puisque j’aurais pu parier à chaque fois qu’il consommait l’équivalent ou même plus. J’ai souvent pensé que c’était les clients eux-mêmes qui lui donnaient de quoi nourrir sa famille à la fin de la journée, par pitié pour lui qui était incapable d’être responsable. Ça n’a rien d’un père… et encore moins d’un mari. Le soir, vers deux ou trois heures du matin, il revenait à moitié mort à la maison, avec moi la plupart du temps. Ma mère… Elle l’attendait toujours, même si elle savait ce qui allait lui arriver. En faites, ce n’est pas lui qu’elle attendait, c’est moi… Pour rester éveillée, elle buvait beaucoup… mais malgré tout, j’ai toujours vue son geste de m’attendre comme une sorte d’instinct maternelle. Elle voulait me protéger et peut-être aussi s’assurer qu’il ne m’avait pas tué avec la voiture. Presque à chaque soir, j’entrais le premier en courant et je voyais ma mère avec son éternel visage triste. Elle était soulager de me voir et ensuite… lui il entrait. Je ne vais pas tourner autour du pot longtemps, mais, il était agressif avec elle. Tout ce que je voyais à chaque fois c’était lui qui se fâchait, elle qui prenait les coups et lui qui lui hurlait de ne plus recommencer. Recommencer quoi, ça je ne l’ai jamais vraiment su. C’est drôle non, je voyais ma mère se faire battre injustement et je ne savais même pas pourquoi ça venait de se produire. Elle ne pleurait jamais. Elle devait avoir l’habitude… Le pire dans tout ça, c’est que j’étais incapable d’intervenir. Je devais avoir 5 ou 6 ans quand cette situation était devenue quotidienne. Ça me frustrait oui, mais ma mère n’avait jamais demandé de l’aide, elle ne faisait rien non plus… »
« Par contre, les choses ont changé quand j’ai commencé à être plus grand. Je ne pourrais pas vous dire l’âge que j’avais, mais je me rappelle très clairement de la date. C’était en décembre. Le 18 décembre et c’était l’aube. Mon père se disputait avec un de ses amis du bar, c’était à propos d’une histoire de dettes ou de retards de paiement. Il en avait beaucoup et quand on lui en parlait, ça l’enrageait. J’attendais derrière le comptoir qu’ils aient fini, mais ça ne finissait jamais. Alors, je m’étais levé et j’ai marché vers la sortie. La première chose que j’ai su c’est que j’avais mal. Il m’avait frappé pour la première fois et tout ça parce que j’avais voulu sortir prendre l’air… Avant ce jour là, je n’avais qu’une haine légère pour lui, mais après ça… Je souhaitais qu’il meure à chaque fois que je l’entendais respirer. Je voulais que ça prochaine expiration soit la dernière, qu’il tombe par terre et disparaisse de nos vies. C’est aussi à ce moment là que ma mère tomba malade. Aujourd’hui je sais que c’est incurable et qu’il n’y a rien à faire pour l’arrêter. Mais j’étais naïf. Je m’occupais d’elle nuit et jour. Il le fallait, je lui devais. J’ai mis tellement d’efforts à essayer de la sauver. Comme si je pouvais! »
« Après 14 mois d’enfer, elle en mourus. C’était il y a longtemps, mais je me rappelle avoir eu tout un choc. C’est à ce moment là que j’ai réalisé que j’étais seul. Malgré mon père que j’ai vu sobre et en larmes pour la première fois à son enterrement. Malgré mon frère et ma soeur qui ne se son jamais remis non plus, même s’ils étaient très jeune. Malgré mes amis qui ne savait pas quoi me dire pour me réconforter. J’étais totalement seul, il n’y avait que moi. Et comme il n’y avait que moi, je devais faire quelque chose sinon j’allais finir comme elle et mourir moi aussi en ayant jamais rien fait d’autre qu’endurer la vie. J’ai cherché longtemps ce que je devais faire pour moi. Très longtemps. Je me souviens qu’une partie de la réponse m’est venu en regardant les ambulanciers venir en aide à un client régulier du bar alors que j’y travaillais. Une autre partie m’est venue quand mon frère fut hospitalisé à cause de sa schizophrénie après avoir essayé de tuer ma jeune soeur. Bref, ça m’est venu par morceaux et au final, quand j’ai eu à choisir une université, j’ai été en médecine. J’en ai choisi une très loin. J’avais besoin de partir, d’être égoïste pour une fois. Et je l’ai fait, non s’en mettre ma famille en colère, mais je suis parti sans jamais me retourner. Je n’ai jamais vraiment regretté mon choix. Ça c’est fait naturellement et c’était ça ou me mettre la corde autour du cou. Tourner la page définitivement n’a donc pas été difficile. »
« Accélérons un peu. Après l’école de médecine, on m’a envoyé faire mon internat au Seattle Grace. J’étais heureux de bouger et d’agir enfin. Je crois que lorsque j’ai franchis les portes de cet hôpital, ça a été le gros soulagement de mon existence. J’aime bien me dire qu’avant j’étais sous l’eau et je n’arrivais jamais à remonter à la surface pour respirer et que le fait d’être interne me libéra enfin des profondeurs. Je crois même que j’ai réellement commencé à vivre quand un patient m’a appelé Dr. Karev. »
« Même si j’ai fais beaucoup d’erreurs au cours de mes débuts au Seattle Grace, qui n’en fait pas, je suis plutôt satisfait de mon parcours. Avec le recul, je crois que je n’avais aucunes attentes en tant que médecin. Je ne m’attendais surtout pas de devenir résident en pédiatrie. Si vous m’aviez parlé il y a trois ou quatre ans, vous auriez été surprise comme j’étais différent avant… Surtout que l’ancien Alex vous aurait ri en pleine face si vous lui auriez dit qu’il était marié à un fantôme… Je… Je ne voulais pas en venir là, mais vous êtes tenu au secret professionnel alors, je peux vous le dire… La mariée a été la plus grosse erreur de ma vie, mais je recommencerais demain matin! Même si quelqu’un aurait été là et m’aurais dit : « Dude, elle va te laisser tomber et partir sans prévenir ». Je l’aurais marié quand même! C’est comme ça, c’est tout! Izzie… Elle fait partie de ma vie et se mariage me rappelle que j’ai déjà été amoureux d’elle… »
« Euh… Je crois avoir fait le tour… À moins que je vous parle de l’évènement qui vous a donné une job? Je suis sur que ça vous intéresse plus que le reste dans le fond, pas vrai? En faites, je ne me rappelle pas de grands choses. C’est arrivé tellement vite, je ne mis attendais pas et ça m’a… Je me suis senti… Je sais pas moi! Vulnérable peut-être? Ça m’a fait réaliser que toute la carapace que je m’avais créée pour me protéger du monde ne pouvait rien contre ça. Que j’étais aussi « apte » à mourir que tout les autres autour de moi… Avoir mal, physiquement je veux dire, ça m’a paralysé et ça m’a fait réaliser beaucoup de choses. Je n’irais pas jusqu’à dire que ça a changé ma vie et ma façon de voir les choses, mais disons simplement que ça m’a permis de faire le point. Désormais, il y a un moi avant la fusillade et un moi après. Mais ça reste cool quand même d’avoir survécue à un truc pareil! Certains sont morts et moi… J’ai eu de la chance que… »
(Bruit de bipper)
-Je dois y aller, ne vous ennuyer pas trop de moi!
(Bruit d’un résident qui sort en courant du bureau de la psy et de celle-ci qui soupire)
Son physique et caractère
Alex se sait beau et il n’hésite pas à utiliser cet aspect pour séduire. Il est de taille moyenne, a les cheveux bruns et courts et les yeux de la même couleur. Dit comme cela, il parait banal. Mais ce qui le différencie c’est l’attitude qu’il dégage. Il a immensément confiance en lui et il a même tendance à se croire supérieur aux autres. Il a du répondant, frôlant l’arrogance. Il n’a pas peur de dire son opinion sur une situation, même si cela peut paraître brutal et direct. Son attitude a rendu son intégration au Seattle Grace plus long puisque beaucoup ne l’appréciait pas. Mais derrière cette carapace d’arrogance se cache un être fragile. C’est en partie à cause de cet aspect de sa personne qu’il a choisi la pédiatrie, en plus d’avoir du talent dans ce domaine. Il a beaucoup souffert par le passé et il tente tant bien que mal de se protéger des éventuelles blessures, même si cela le conduit à faire de mauvais choix. Par exemple, son amour avec Izzie est compliqué mais il l’a profondément aimé. Par contre, son départ a réveillé ses vieux démons et son attitude d’autoprotection est réapparue, encore plus forte cette fois. Cela pourrait le conduire à faire des choix très négatifs pour lui ou pour les autres. Généralement, il passe beaucoup de temps dans les bars, surtout par habitude à cause de son enfance. Il adore séduire et coucher avec les femmes, même si cela ne mène pas nécessairement à une relation quelconque. Le fait qu’il est coupé tous les ponts avec sa famille ne semble pas vraiment l’affecter, il voit cela davantage comme une libération que comme une séparation. Il reste tout de même sensible à son passé même s’il fait tout pour le cacher, même à ces plus grands amis.
Et toi ? Derrière l’écran
Prénom/Pseudo ☞ Volo Age ☞ 19 ans Comment as-tu découvert le forum? ☞ Par hasard Mon personnage est ☞ un PV Mon avatar est ☞ Justin Chambers Ma fiche est ☞ Terminée Code ? ☞ Validé
Crédit@Shadow
Alexis Z. Meyers La tite blonde siphonnée !
Messages : 183 Date d'inscription : 18/07/2012
Sujet: Re: Alex Karev Ven 27 Juil - 17:09
Bienvenue J'adore ce personnage et j'ai adoré lire ta fiche, la preuve je l'est lu d'une seule traite alors que normalement je lit les fiches en plusieurs fois ! Quand tu sera validé on pourra avoir un lien ?
Alex Karev
Messages : 120 Date d'inscription : 27/07/2012
Sujet: Re: Alex Karev Ven 27 Juil - 17:12
Merci à toi!
Sinon, bien sûr que je veux un lien avec toi!
Teddy L. Altman Gentille Admin bordélique // Cardio God
Messages : 156 Date d'inscription : 07/07/2012
Sujet: Re: Alex Karev Ven 27 Juil - 17:46
Haaaaa =)n J'adore ta fiche ^^ l'idée du psy, GE-NI-ALE !
J'ai validé ton code. Pour moi la fiche est bonne. Manque plus que l'avis d'Erika, mais c'est comme si c'était fait :p
Voila voila ! SI tu as une question, une inquiétude ou tout autre chose, n'hésite pas à contacter le Staff. On te répondra le plus rapidement possible =)
Alex Karev
Messages : 120 Date d'inscription : 27/07/2012
Sujet: Re: Alex Karev Ven 27 Juil - 17:52
Merci! J'ai hâte d'être validé! (oui, l'idée du psy met venu à cause du contexte, je me suis dit, comment Alex réagirait si elle lui demandais de raconter sa vie )
Dernière édition par Alex Karev le Ven 27 Juil - 17:59, édité 1 fois
Teddy L. Altman Gentille Admin bordélique // Cardio God