Ce ne sont pas nos origines qui définissent ce que nous sommes, c’est ce que nous faisons pour le devenir 【 nom 】Mendoza Ferrez Mirales Salvadore 【 prénom(s) 】Erika Selenia Rosa Maria Mercedes 【 date de naissance/âge 】13/08/1984 // 28 ans 【 lieu de naissance/nationalité 】Phoenix // Américaine d’origines Argentine 【 poste 】Résidente 【 service 】Orthopédie 【 situation familiale & amoureuse 】Célibataire Elle est… Talentueuse Fêtarde Chaleureuse Combative Energique

Son histoire

Erika Selenia Rosa Maria Mercedes Mendoza Ferrez Mirales Salvadore de son nom complet (et on ne peut pas dire le contraire) est née sur le territoire américain, comme ses deux grands frères, Diego et Felipe, et à Phoenix, Arizona, plus précisément. Ses parents eux sont Argentins et sont venus s’installer aux Etats-Unis pour échapper au gouvernement du général Pinochet mais aussi en voulant donner une meilleure chance à leurs enfants. D’ailleurs, ayant tous les deux des diplômes qui leur assuraient un bon poste en Argentine, ils pensaient que cela ne serait pas trop compliqué aux USA. Mais non, ils finirent par devenir chauffeur routier et femme de chambre dans un hôtel de la ville donc autant vous dire que le rêve américain a pris un sacré coup dans la famille Mendoza Ferrez.
Bref, vous l’aurez deviné, Erika a grandi dans un milieu assez populaire et entourée de sa famille venue assez nombreuse d’Argentine malgré les difficultés d’intégration. Entre la dictature et la liberté, le choix est vite fait, c’est en tout cas ce que disait régulièrement son grand-père paternel. La jeune femme est donc bilingue depuis sa plus tendre enfance et est très attachée à la culture de son pays d’origine.
Au niveau scolaire, Erika se révéla rapidement être une élève plutôt sérieuse, enfin, d’après les résultats car il faut dire que cela était plus dû à ses facilités qu’à son sérieux. Oui, déjà jeune elle préférait s’amuser que s’enfermer dans sa chambre pour travailler pendant trois heures sur quelque chose qu’elle avait rapidement compris. Bref contrairement à ses deux frères, cela se passait plutôt bien, au point même où elle réussit à décrocher une bourse au lycée.
Aaaaah le lycée ! La période la plus importante pour les adolescents sans doute et que de souvenirs pour Erika. Oh, elle n’avait pas trop à se plaindre. Plutôt sportive et ayant une énergie impressionnante, la jeune fille était à la fois vice-capitaine de l’équipe des cheerleaders et capitaine de l’équipe de basket féminine du lycée et elle en faisait tourner des têtes. Le choc pour le capitaine de l’équipe de football américain quand il l’a surpris dans les vestiaires après un match d’Erika avec la capitaine des cheerleaders à faire des choses pas très catholiques. Et oui, désolé messieurs mais Erika préfère les filles, et de loin même vous répondra-t-elle si vous le lui demander. Comment l’a pris sa famille ? On vous savez, dans une famille argentine, le coup du coming out, c’est une très mauvaise idée. On le sait mais on ne pose pas la question et on n’en parle pas. Comme avec son cousin Antonio qui emprunte régulièrement des robes à sa sœur, on le sait mais on fait comme si on n’était pas au courant. Une sorte de déni en gros mais peu importe, revenons à nos scalpels.
Réussissant parfaitement ses études, Erika finit par choisir Médecine après le lycée avec l’idée de devenir chirurgienne. Pourquoi ? Et bien parce qu’elle veut en quelques sortes venger ses parents en réussissant un des cursus les plus durs aux USA pour montrer à tous qu’une fille d’immigrés argentins peut parfaitement réussir comme n’importe quel américain depuis 6 générations. Et aussi parce qu’il faut le dire, même si elle préfère les filles, elle a toujours trouvé Georges Clooney très classe en blouse blanche dans la série Urgences dont elle était fan adolescente. Mais bon, malgré sa bourse au mérite et sa bourse sportive, sa famille est loin de pouvoir suivre financièrement, du coup, Erika prend rapidement un prêt étudiant et commence à bosser en tant que coach particulier pour une demi-douzaine de clients grand maximum dans une salle de sports en plus de ses études pour commencer à rembourser l’emprunt. Et malgré ça, elle finit 5ème de sa promotion après avoir travaillé avec acharnement non seulement pour réaliser son rêve mais aussi pour ne pas décevoir sa famille. Elle commence alors son internat à l’hôpital universitaire de Phoenix toujours, ne voulant pas quitter sa famille, tout en continuant d’assurer son deuxième boulot toujours dans l’idée de se débarrasser de cet emprunt à rembourser. Son internat se passe d’ailleurs très bien et elle obtient son examen pour devenir résidente haut la main. Mais c’est là que tout se gâte…
En effet, maintenant résidente, Erika doit se spécialiser et il faut avouer que la jeune femme ne sait pas trop quoi choisir. Pourtant, elle passe beaucoup de temps en orthopédie. Pourquoi ? Et bien parce que déjà elle s’éclatait bien dans cette spécialité et il fallait avouer que…. Sa titulaire était plutôt canon. Bon, la jeune hispanique n’avait jamais osé la draguer ou quoi que ce soit de ce genre, surtout que tout le monde à l’hôpital savait que sa titulaire était fiancée. Mais cela n’empêche pas les deux jeunes femmes de devenir proches même si au bout d’un moment, Kendall, sa titulaire, commence à s’éloigner bizarrement d’elle sans que l’hispanique ne comprenne pourquoi. Ce n’est qu’une ou deux semaines plus tard qu’Erika trouve Kendall pratiquement ivre morte à sa porte et que celle-ci lui balance qu’elle est complètement perdue depuis qu’elle a compris qu’elle était attirée par Erika. Sa réaction ? C’est simple, Erika a fini par l’embrasser. Les deux femmes commencent alors à avoir une relation autre que la relation titulaire/résident classique. Et étonnamment, alors qu’Erika n’avait jamais eu de relation de plus de deux mois, elles restèrent ensemble durant six mois en secret et après que Kendall ne quitte son fiancé. Mais tout à une fin non ? Celle de leur histoire est assez simple : elles finirent par se faire surprendre par l’interne du jour d’Erika dans une réserve et devinent aussitôt que l’une des deux allait devoir quitter l’hôpital si elles ne voulaient pas se faire renvoyer toutes les deux. Devant le dilemme carrière ou amour, Erika décide de profiter d’une garde de son amante pour aller faire la fête. Fête plutôt arrosée d’ailleurs car le lendemain matin, elle n’est même pas capable de donner le nom de la femme dans ses bras quand Kendall les réveillent. Et oui, chassez le naturel et il revient au galop, cette situation était l’exemple parfait. Une violente dispute entre les deux chirurgiennes s’en suit ainsi qu’une rupture. Erika décide alors de partir de Phoenix, voulant se donner une chance de recommencer à zéro. Elle postule alors dans plusieurs hôpitaux et s’envole finalement pour Seattle cinq jours plus tard, après avoir reçu une réponse du Seattle Grace Mercy Hospital.
Elle arrive d’ailleurs deux semaines à peine avant la fusillade et se retrouve à se planquer dans une réserve avec une autre résidente et une infirmière blessée. Aujourd’hui, elle s’habitue enfin à sa nouvelle vie. Résidente attitrée de la grande Callie Torres, elle s’éclate plus que jamais en orthopédie, elle s’est remise depuis près de trois semaines de la fusillade et elle a repris de nouveau son deuxième job de coach sportif pour finir de rembourser son emprunt. Et côté cœur, elle est redevenue l’éternelle célibataire aux multiples conquêtes d’une nuit qui fait la fiesta dès que l’occasion s’en présente.

Son physique et caractère

Physiquement ? Les trois quarts des hommes définiraient Erika comme une bombe. C’est vrai qu’avec son mètre 70, sa peau matte, ses yeux sombres, sa chevelure noire ou châtain foncé suivant la lumière et son physique plutôt avantageux, la jeune femme laisse rarement les hommes indifférents. Et les femmes aussi car, comme vous le savez déjà si vous avez lu son histoire, Erika est lesbienne. Et sa meilleure amie lui a même attribué un joli petit surnom : Détournewoman. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’elle a le « don » de détourner de parfaites hétérosexuelles en bisexuelle ne serait-ce que l’espace d’une nuit sans rien faire de particulier. A croire qu’elle dégage quelque chose qui attire les deux sexes. Oh, elle ne va pas s’en plaindre après tout non ? Mais pas de panique, elle respecte parfaitement l’orientation sexuelle des autres à partir du moment où on respecte le sien et ne cherchera jamais à détourner de force une femme, même si elle l’attire énormément. Au niveau vestimentaire, malgré son homosexualité assumé, elle est très féminine mais préfèrera tout de même un jeans à une jupe. Mais ne vous trompez pas tout de même, elle sera la première à enfiler une robe pour danser le tango. Et oui, c’est un peu la danse « traditionnelle » de son pays d’origine et elle a surtout appris à le danser très tôt grâce à sa mère. Sportive à la base, elle n’est pas adepte de ses « idioties » de régime, surtout qu’elle est capable de manger n’importe quoi sans grossir, et préfère aller courir une heure ou deux pour se vider la tête en cas de besoin.

Au niveau du caractère, Erika n’est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds. Petite dernière derrière deux garçons, elle a affirmé ce côté-là de sa personnalité très jeune. La preuve, à 6 ans, la petite a cassé le nez de Felipe, le deuxième de la famille, parce qu’il n’arrêtait pas de l’embêter. Pourtant à côté de ça, elle est toujours partante pour faire la fête. Surtout si l’alcool et les filles sont au rendez-vous. Oui, autant Erika est quelqu’un qui rigole souvent, qui se fait des amis facilement et qui est une amie sur qui on peut compter dans n’importe quelle circonstance, autant en ce qui concerne les relations de couples… Disons que la fidélité n’a jamais était son fort et que c’est plutôt une… croqueuse de femme ? Ça se dit ? Sans doute. Enfin bref, elle préfère de loin des aventures d’un soir plutôt qu’une relation de couple. Oui, elle a tout de même réussi à en avoir quelques-unes, notamment avec sa titulaire à Phoenix mais faut pas pousser non plus. Dans toutes les relations, au bout d’un certain temps, elle a un besoin irrésistible de tout détruire. Pourquoi ? Elle-même ne le sait pas mais elle s’amuse bien quand même. Heureusement que la chirurgie est là pour stabiliser un peu la jeune fille.

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